Christian bobin écrire aux animaux
Françoise armengaud
Éditeur :
 L'Harmattan
EAN :
 9782336486017
Date de parution :  
10/10/2024
Disponible sous 3/4 jours
Disponible sous 3/4 jours
Résumé
"On pourrait dire de christian bobin qu’il murmure à l’oreille des animaux. mais le poète préfère leur écrire. il confie à françoise armengaud : « le matin où j’ai reçu votre projet, je travaillais à une lettre adressée — à une alouette. elle fait déjà quinze pages ». écrire aux animaux, c’est les considérer comme des sujets et des interlocuteurs. au fur et à mesure des livres, ils se révèlent davantage encore : ils sont nos « maîtres », nos « modèles » et nos guides spirituels.
tels des anges, ils savent « remettre en vie la vie » et participent, comme le désigne la tradition juive, à la « réparation » du monde. christian bobin est sensible aux massacres permanents des animaux, voire leur disparition programmée. il exprime cependant sa confiance dans la jeunesse contemporaine mobilisée contre ce qu’il appelle dans son avant-dernier ouvrage « un monde enténébré par ses lumières ». le regard émerveillé du poète sur les animaux n’est pas seulement redevable à une inspiration franciscaine amplement saluée naguère, mais l’un des puissants fils conducteurs de l’œuvre. "
tels des anges, ils savent « remettre en vie la vie » et participent, comme le désigne la tradition juive, à la « réparation » du monde. christian bobin est sensible aux massacres permanents des animaux, voire leur disparition programmée. il exprime cependant sa confiance dans la jeunesse contemporaine mobilisée contre ce qu’il appelle dans son avant-dernier ouvrage « un monde enténébré par ses lumières ». le regard émerveillé du poète sur les animaux n’est pas seulement redevable à une inspiration franciscaine amplement saluée naguère, mais l’un des puissants fils conducteurs de l’œuvre. "
Informations détaillées
Éditeur: 
L'Harmattan
EAN: 
9782336486017
Collection:  
Espaces littéraires
Date de parution:  
10/10/2024
Format:  
8 mm x 215 mm x 135 mm
Nombre de pages:  
142