"Lorsque, en 1972, så“ur marguerite tiberghien débarque au congo-brazzaville, elle découvre, au-delà de linjustice du racisme, linjustice de lâmelignorance. au cå“ur des guerres civiles qui déchirent les pays, elle sengage, avec pour armes sa foi et sa passion, dans cette autre guerre : la lutte contre lanalphabétisme, seul antidote au poison des tueries ethniques. sans moyens dabord, «å“ur courage» bâtira plusieurs écoles où sont passés, à ce jour, des dizaines de milliers délèves. autant dexistences sauvées de la brutalité et de la destruction. son «école spéciale» est gratuite, ouverte à tous quels que soient lâge, la race, la religion, le handicap, et destinée aux exclus du système scolaire. mais pourquoi lintrusion dun «de pub» dans ce livre ? jacques séguéla se met tout simplement au service des så“urs qui lui ont appris à grandir. et il se laisse, comme le lecteur, piéger par cette «de dieu» lors dun dialogue savoureux qui nous fait entrer insensiblement dans son monde de charité et de paix. «bonté existe, je lai rencontrée», conclut-il. "